« Rien, c’est déjà trop dire puisqu’on s’en fout. Ça, ça consiste à supprimer en somme ce que des millénaires d’humanité ont accumulé d’ordre dans la pensée, au profit de ce désordre de la pensée qui me plaît et qui me paraît, somme toute, contrevenir à une frustration générale. Dans le désordre de la pensée, naît, par exemple la poésie. Il y a quelque chose de profondément poétique dans toute espèce de désordre de la pensée, ou des attitudes, mieux que la pensée. »