« La beauté n’est que le pressentiment de la terreur et, si nous l’admirons tant, c’est parce qu’indifférente elle dédaigne de nous détruire.Tout ange est terrible »
Un graphe. Une graphie. Un réseau. Une écriture qui se déploie en même temps qu’elle ne progresse . Une trajectoire brisée et désarticulée mais qui fonce au devant d’elle, à tombeau ouvert, en roue libre. Un parcours imaginaire sensible . Une portée autant poétique que politique. Chargée. Jusqu’à l’épuisement.