« Brûler, en esprit, tous ces livres, tous ces mots – toutes ces incomparables, subtiles, profondes, mortelles pensées. Pour s’ouvrir à la pluie qui tombe, traversée de moucherons, d’insectes, à ce pays gris et vert; à un craquement dans les pierres du mur ou le bois de la porte. «
Comme des lames de tarot dans le casino invisible. Monde feuilleté, dédoublé, clivé. Passé présent avenir. Un temps précipité. Empreinte spirite. Magique. Point singulier panique aux confins turbulents.
« Le texte devient un fragment pertinent qu’on peut faire jouer avec d’autres fragments pour constituer un métatexte. L’unité de sens n’est donc plus le contexte. Dans le livre,la lecture de fil fait progresser le lecteur grâce à la cohérence de la pensée de l’auteur.Dans la lecture de prélèvement tout est à la charge du lecteur. »
Internet, lecture et culture de flux / Jean-François Barbier—Bouvet
« Les seules écoles vraiment dignes d’être fréquentées sont celles que nous ne choisissons pas et dont, pour ainsi dire, nous franchissons la porte par hasard. »