« C’est la méconnaissance de la Terre, l’oubli de l’astre sur lequel ils vivent, l’ignorance de la nature des richesses, c’est-à-dire de l’incandescence qui est close dans cet astre, qui a fait de l’homme une existence à la merci des marchandises qu’il produit, dont la partie la plus importante est consacrée à la mort.
Tant que les hommes oublieront la véritable nature de la vie terrestre, qui exige l’ivresse extatique et l’éclat, cette nature ne pourra se rappeler à l’attention des comptables et des économistes de tout parti qu’en les abandonnant aux résultats les plus achevés de leur comptabilité et de leur économie. »